La dénutrition chez la personne âgée
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La dénutrition chez la personne âgée
La dénutrition chez le sujet âgé représente un risque majeur pour sa santé physique et mentale.
Elle est la résultante d’un état de santé altéré.
A domicile, à l’hôpital ou en institution, la réaction face à la dénutrition de la personne âgée doit être immédiate. D’où la nécessité de repérer les situations à risque.
Les causes de la dénutrition :
Lorsque la personne âgée a une santé fragilisée, il y a forcément des répercussions sur son goût à manger. La dénutrition apparaît ainsi concomitamment avec la survenance d’un cancer ou d’autres maladies telles la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson.
L’état de santé bucco-dentaire de la personne âgée peut aussi entrainer de la dénutrition.
En effet, sécheresse buccale, candidose et autres ne faciliteront pas la prise alimentaire de la personne âgée. Or, c’est bien connu : l’appétit vient en mangeant et moins on mange moins on a envie de manger.
Tout passe donc par redonner l’envie de manger à la personne âgée.
Stimuler la personne âgée dans la prise alimentaire
Pour que la personne âgée mange, il faut qu’elle prenne conscience de l’importance de se nourrir quand il le faut et comme il le faut.
En règle générale, les séniors ont tendance à négliger le repas à cause de la solitude et aussi peut – être parce qu’ils ne sont plus dans la dynamique alléchante de la préparation du repas (faire les courses, penser le repas, préparer le repas). Il y a ici toute une stimulation psychologique à l’alimentation qui petit à petit peut disparaître surtout lorsque la personne âgée est seule à domicile et que les actes de la vie courante lui sont pénibles physiquement.
Or, même si la personne âgée reste à domicile et qu’elle n’a pas d’activité physique, ce n’est pas pour autant que ses besoins en apport journalier sont inexistants. Il faut donc à tout prix communiquer avec elle, si possible, sur ce sujet.
Par ailleurs, afin de créer des mécanismes de prise alimentaire, il faut recréer l’alarme biologique en espaçant les prises alimentaires.
Donner un rythme alimentaire à la personne
Il y a un rythme alimentaire à tenir calqué sur une base de 4 repas par jour : petit déjeuner, déjeuner, goûter, dîner avec 3 heures minimum entre les repas.
On veillera également à ce que la personne prenne le temps de manger. Le repas ne doit pas durer moins de 30 minutes.
Apprendre à manger équilibré
Pour que la personne âgée puisse prendre le temps de manger, il lui faut retrouver le goût de la nourriture.
Une alimentation équilibrée passe par la préparation de denrées diverses et complémentaires.
Protéines, fruits et légumes … la combinaison doit être alliée avec intelligence et donner envie.
Pour faire que petit à petit les papilles reviennent à la vie !
A domicile, à l’hôpital ou en institution, la réaction face à la dénutrition de la personne âgée doit être immédiate. D’où la nécessité de repérer les situations à risque.
Les causes de la dénutrition :
Lorsque la personne âgée a une santé fragilisée, il y a forcément des répercussions sur son goût à manger. La dénutrition apparaît ainsi concomitamment avec la survenance d’un cancer ou d’autres maladies telles la maladie d’Alzheimer ou de Parkinson.
L’état de santé bucco-dentaire de la personne âgée peut aussi entrainer de la dénutrition.
En effet, sécheresse buccale, candidose et autres ne faciliteront pas la prise alimentaire de la personne âgée. Or, c’est bien connu : l’appétit vient en mangeant et moins on mange moins on a envie de manger.
Tout passe donc par redonner l’envie de manger à la personne âgée.
Stimuler la personne âgée dans la prise alimentaire
Pour que la personne âgée mange, il faut qu’elle prenne conscience de l’importance de se nourrir quand il le faut et comme il le faut.
En règle générale, les séniors ont tendance à négliger le repas à cause de la solitude et aussi peut – être parce qu’ils ne sont plus dans la dynamique alléchante de la préparation du repas (faire les courses, penser le repas, préparer le repas). Il y a ici toute une stimulation psychologique à l’alimentation qui petit à petit peut disparaître surtout lorsque la personne âgée est seule à domicile et que les actes de la vie courante lui sont pénibles physiquement.
Or, même si la personne âgée reste à domicile et qu’elle n’a pas d’activité physique, ce n’est pas pour autant que ses besoins en apport journalier sont inexistants. Il faut donc à tout prix communiquer avec elle, si possible, sur ce sujet.
Par ailleurs, afin de créer des mécanismes de prise alimentaire, il faut recréer l’alarme biologique en espaçant les prises alimentaires.
Donner un rythme alimentaire à la personne
Il y a un rythme alimentaire à tenir calqué sur une base de 4 repas par jour : petit déjeuner, déjeuner, goûter, dîner avec 3 heures minimum entre les repas.
On veillera également à ce que la personne prenne le temps de manger. Le repas ne doit pas durer moins de 30 minutes.
Apprendre à manger équilibré
Pour que la personne âgée puisse prendre le temps de manger, il lui faut retrouver le goût de la nourriture.
Une alimentation équilibrée passe par la préparation de denrées diverses et complémentaires.
Protéines, fruits et légumes … la combinaison doit être alliée avec intelligence et donner envie.
Pour faire que petit à petit les papilles reviennent à la vie !
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