Les accidents vasculaires cérébraux


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Les accidents vasculaires cérébraux
Les accidents vasculaires cérébraux
Le monde est en choc : Ricardo, ancien entraineur des girondins, sportif de haut niveau s’est écroulé en plein match devant un public impuissant face à la survenance d’un AVC brutal.


L’AVC (accident vasculaire cérébral), c’est l’ennemi des sportifs. Les images de joueurs s’effondrant brutalement ne sont pas rares. Et pour cause, les AVC sont la troisième cause de décès en France (après l’infarctus et le cancer). En outre, c’est la première cause d’handicap.

Pourtant, il semblerait que les AVC restent encore mal connus du grand public à moins qu’il ne s’agisse en fait d’une fuite vers l’ignorance par peur de savoir, à quoi nous sommes tous exposés.

L’AVC, c’est la foudre en plein soleil, un tonnerre cérébral qui peut frapper n’importe qui, n’importe quand.

Comment éviter la survenance d’un AVC ? Y a-t-il un moyen de sentir l’AVC arriver et d’en limiter les dégâts ?

Voici quelques explications pour mieux vivre sans craindre l’épée de Damoclès.

Il existe des facteurs de risques plus ou moins importants conduisant à l’AVC, tels par exemple la consommation régulière d’alcool,  l’hypertension. Les sujets âgés sont plus  touchés par les AVC. Le diabète représente aussi un facteur de risque de subir un AVC, mais dans une moindre mesure que les autres facteurs précités. On compte aussi parmi les causes d’AVC  le tabac, les antécédents familiaux, l’obésité…

Les signes d’apparition d’un AVC :

Les signes d’apparition des AVC ne sont pas flagrants et ils requièrent un minimum de connaissance voire d’information de l’entourage de la personne pour une réaction rapide.

Il est à noter que les premières heures suivant la survenance d’un AVC sont primordiales. Elles conditionnent les chances de survie de la personne victime de l’avc mais aussi ses conditions de vie post AVC.

L’idée est donc de réagir au plus vite dès l’apparition des premiers symptômes pour donner à la personne toutes ses chances d’éviter une trop grande diminution de sa personne.

Si la personne commence à tenir un discours incohérent, comme si elle était ivre ou encore si elle a un début d’hémiplégie, si elle se plaint de maux de tête, il faut s’inquiéter.

Que faut – il faire en cas d’AVC ?

Malheureusement, il n’y a pas grand-chose à faire si ce n’est de prévenir de toute urgence les secours. Seul un traitement adapté à l’AVC administré dans les 4 heures de la crise peuvent sauver la personne.

Un AVC est grave, c’est une course contre la montre et contre la mort.

En tout état de cause, il ne faut pas baisser les bras et garder espoir jusqu’au bout…

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