Catégorie Insolite
Japon : plus de la moitié des victimes du tsunami parmi les seniors
Les personnes âgées du pays du Soleil Levant auront été particulièrement marquées par les récentes catastrophes naturelles du pays. En effet, le célèbre quotidien japonais Asahi Shimbun fait état de milliers de victimes parmi la population des plus de 65 ans. Le tremblement de terre, puis le tsunami qui s'en ait suivi, auraient ravagé le pays, autant sur le plan des pertes naturelles qu'au niveau des pertes humaines.
Comme dans beaucoup de situations (telles que les accidents et catastrophes naturelles), les personnes âgées sont bien souvent les premières à payer le lourd tribu.
Lorsque l'on fait un petit retour historique sur les catastrophes naturelles dans le monde, depuis ces dix dernières années, nos aînées sont en ligne de mire des personnes les plus atteintes et traumatisées (pour celles qui survivent). Le bilan est le même à chaque fois, aussi bien en Haïti qu'en Thaïlande : inondations, volcans en activité, tsunamis et tremblements de terre. Ces phénomènes naturels qui dépassent l'entendement humain, fragilisent en premier lieux les plus faibles, c'est-à-dire les personnes âgées.
Triste ironie du sort, lorsque l'on sait que le Japon est un pays connu pour le culte et le respect voué aux aînés, les cheveux blancs étant synonymes en Asie de grande sagesse.
Le récent décompte des victimes indique ainsi que la moitié des tués de la vague géante étaient âgées de plus de 65 ans. Ce chiffre est considérable puisque sur un total approximatif de 7935 victimes recensées, 4398 d'entre elles dépassaient la barre des 65 ans. Dans la région touchée par la catastrophe, les Seniors représentaient une branche de 25 % de la population totale, le drame du tsunami en emportât 56 % d'entre eux...
Comme l'on peut facilement se l'imaginer, lorsque le tsunami a fait sa terrifiante apparition, il est évident que les personnes âgées touchées étaient dans l'incapacité motrice de se déplacer et ainsi de faire face à la situation de fuite dans laquelle ils se trouvaient. Une association américaine de défense des retraités ( "we can do better" littéralement "on peut faire mieux") avait auparavant fait une étude qui exposait les faits : dans les situations de catastrophes et accidents naturels la tranche des 50 ans et plus aurait besoin d'une aide, ou d'un secours extérieur pour survivre.
Les chiffres relatés jusqu'alors restent encore aléatoires puisque le bilan définitif des victimes devrait être fixé d'ici début mai prochain.
Lorsque l'on fait un petit retour historique sur les catastrophes naturelles dans le monde, depuis ces dix dernières années, nos aînées sont en ligne de mire des personnes les plus atteintes et traumatisées (pour celles qui survivent). Le bilan est le même à chaque fois, aussi bien en Haïti qu'en Thaïlande : inondations, volcans en activité, tsunamis et tremblements de terre. Ces phénomènes naturels qui dépassent l'entendement humain, fragilisent en premier lieux les plus faibles, c'est-à-dire les personnes âgées.
Triste ironie du sort, lorsque l'on sait que le Japon est un pays connu pour le culte et le respect voué aux aînés, les cheveux blancs étant synonymes en Asie de grande sagesse.
Le récent décompte des victimes indique ainsi que la moitié des tués de la vague géante étaient âgées de plus de 65 ans. Ce chiffre est considérable puisque sur un total approximatif de 7935 victimes recensées, 4398 d'entre elles dépassaient la barre des 65 ans. Dans la région touchée par la catastrophe, les Seniors représentaient une branche de 25 % de la population totale, le drame du tsunami en emportât 56 % d'entre eux...
Les motifs ?
Comme l'on peut facilement se l'imaginer, lorsque le tsunami a fait sa terrifiante apparition, il est évident que les personnes âgées touchées étaient dans l'incapacité motrice de se déplacer et ainsi de faire face à la situation de fuite dans laquelle ils se trouvaient. Une association américaine de défense des retraités ( "we can do better" littéralement "on peut faire mieux") avait auparavant fait une étude qui exposait les faits : dans les situations de catastrophes et accidents naturels la tranche des 50 ans et plus aurait besoin d'une aide, ou d'un secours extérieur pour survivre.
Les chiffres relatés jusqu'alors restent encore aléatoires puisque le bilan définitif des victimes devrait être fixé d'ici début mai prochain.
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