L’entrée en maison de retraite : L’aspect psychologique
L'entrée en maison de retraite provoque une certaine appréhension chez la personne âgée. Retraite Plus vous donne quelques trucs pour vous aider à passer ce cap difficile...
Comment gérer son appréhension?
Dans le souci de faciliter l’intégration d’une personne âgée en maison de retraite, il convient de comprendre son appréhension afin d’être en mesure de la rassurer. Plus que toute autre peur, celle de la perte supposée de sa liberté est la plus grande. Vient ensuite celle de perdre ses repères familiers puis celle d’être loin de ses proches. Lui prouver que sa liberté et son indépendance ne seront pas aliénées, mais bien au contraire préservées permettra de lui faire envisager l’entrée en établissement de manière plus sereine.
Etre attentif à ses souhaits
Aller visiter la maison avec votre proche et envisager ensemble, d’emporter quelques meubles et souvenirs, permettra de l’aider à se familiariser avec les lieux et à ne pas trop perdre ses repères. Choisir une maison de retraite à la population de même niveau de dépendance que le futur résident est également primordial pour faciliter son intégration. Ecouter votre ainé pour savoir s’il veut une maison bénéficiant d’espaces verts, une maison acceptant son chat ou bien qu’il ne peut pas être heureux sans piano à sa disposition, c’est donner la priorité à ses souhaits. Pour ce faire, renseignez-vous auprès des maisons de retraite et faites appel à votre conseiller Retraite Plus, qui se fera un plaisir de répondre à vos questions.
Amener son animal de compagnie
Amener son compagnon à 4 pattes en maison de retraite pour ne pas s’en séparer, c’est possible. Concrètement, près d'un établissement sur deux le permet. Néanmoins, il sera obligatoire de respecter certaines consignes variables selon les établissements conformément à leur règlement intérieur :
- Tatouages, vaccinations, pose de collier antipuces et traitements vermifuges devront avoir été effectués au préalable.
- Par ailleurs, le résident ou un tiers responsable devra être en mesure de laver l’animal et de le sortir quotidiennement.
Souvent, des aménagements sont possibles avec le concours du personnel. Néanmoins l’avis du directeur d’établissement prévaudra. Il peut refuser d’accueillir le chien d'un résident en cas de nuisances pour les autres pensionnaires.
(Tiré du guide : Réussir l'entrée en maison de retraite, de Retraite Plus)
Pour télécharger directement le guide: cliquez ici
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